Dominique Potier
Député de la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle
Audrey Bardot, suppléante






 
Vous êtes ici :
  Contact Lettre d'information Facebook Twitter


Vidéo à la une


Agenda
Mercredi 30 avril

Détail de la journée

A Paris et en circonscription :

08h30-
09h00
Réunion avec la Fondation Carasso
Assemblée nationale
09h00-
11h00
Réunion de l'équipe parlementaire
Assemble nationale
11h30-
12h30
Rendez-vous avec Madame Annie Genevard, Ministre de l'agriculture
Paris
14h00-
15h00
Questions au gouvernement
Assemblée nationale
15h00-
16h30
Audition de Monsieur Eric Lombard, Ministre de l'économie, par la Commission des affaires économiques
Assemblée nationale
16h30-
18h00
Auditions autour de la Proposition de loi Duplomb
Assemblée nationale
20h00-
22h00
Festival Street Art avec l'AEIM
Toul
 
 
NEWSLETTER
Restez informés des actualités de Dominique Potier en vous inscrivant à la newsletter

 


> L'activité de votre député sur le site citoyen NosDéputés.fr


contactPermanence parlementaire
27 avenue du Maréchal Foch
54200 TOUL
Tel : 03 83 64 09 99
Fax : 03 83 64 31 05
Nous écrire

Actualités

Jeudi 25 mai 2019

Prévention et pesticides : Recours au Conseil d'Etat

Prévention et pesticides : Recours au Conseil d'Etat

J'ai déposé un recours contre l'ordonnance n°2019-361 de la loi EGAlim qui représente à mon sens un excès de pouvoir du Gouvernement sur les délibérations du Parlement.

 

Les contrats d'économie de produits phytopharmaceutiques (CEPP) - introduits lors de la loi du 20 mars 2017 sur l'accaparement des terres et le déploiement du biocontrole - sont la seule mesure contraignante du dispositif Ecophyto 2, pour lequel j'avais remis un rapport au Premier Ministre en novembre 2014.

 

Dès l'examen de la loi EGAlim, j'ai alerté le Gouvernement sur le besoin de sécuriser ce dispositif prometteur. A contrario des engagements exprimés à plusieurs reprises dans hémicycle, l'ordonnance, en supprimant toute sanction, renonce de fait aux CEPP, sans que cela ait fait l'objet d'un débat par le Parlement.

 

C'est la raison pour laquelle j'ai pris la responsabilité – avec le soutien du groupe parlementaire Socialistes et apparentés et en lien avec plusieurs ONG - de déposer un recours au Conseil d'Etat ce 21 mai. Retrouvez mon courrier au Premier Ministre à la suite de la publication du projet d'ordonnance.
 

 

Parallèlement, notre recours au Conseil constitutionnel sur la loi PACTE a permis de censurer l'article que nous avions dénoncé avec force pendant les débats parlementaires. Cet article visait à revenir sur l'interdiction, au 1er janvier 2022, de la production, du stockage et de l'exportation de pesticides interdits d'usage dans l'Union Européenne.

Au nom du principe de réciprocité, nous considérons que nous ne pouvons exporter dans les pays tiers - parfois fragiles - des produits que nous nous refusons d'utiliser ! Retrouvez mon courrier à la Secrétaire d'Etat à l'Industrie adressé lors de l'examen de la loi PACTE

 

 

Enfin, à l'invitation de l'association Phyto-Victimes, présidée par Paul François, j'interviens samedi 25 mai à leur Assemblée générale, pour témoigner de la permanence du combat des socialistes au Sénat et à l'Assemblée nationale pour l'indemnisation des victimes de produits phytopharmaceutiques.

 

Le temps est venu – ici comme au bout du monde - de mettre en oeuvre d'authentiques politiques de prévention pour la santé publique et l'environnement tout en rendant justice à ceux qui ont été victimes de l'utilisation des pesticides.

 
 
 
Assemblée nationale
CMS : Flexit©