Dominique Potier
Député de la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle
Audrey Bardot, suppléante







 
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Agenda
Lundi 5 juin

Détail de la journée

En circonscription 

08h30-
09h00
Réunion de l'équipe parlementaire 
En visio
09h00-
10h00
Introduction de la journée sur le thème "1000 premiers jours de l'enfant : imaginons le meilleur départ pour tous et toutes !", organisée par le Pays Terres de Lorraine 
Nancy
11h00-
12h30
Inauguration des nouveaux locaux de l'entreprise PHEnomen
Messein
13h30-
15h00
Rencontre avec Jean-Baptiste Arnould, directeur territorial d'ENEDIS sur le thème : « Grand Est, cap sur la transition énergétique »
Permanence parlementaire 
15h00-
16h00
Visite des Forges du Saut du Tarn 
Toul
16h30-
18h00
Réunion avec Chaynesse Khirouni, Présidente du Conseil départemental de Meurthe-et-Moselle
Nancy
17h00-
18h30
Réunion du groupe Socialistes et Apparentés
Visioconférence
 
 
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Actualités

Vendredi 19 juin 2020

Contre l'indécence des écarts de revenus : le facteur 12

Contre l'indécence des écarts de revenus : le facteur 12
J'ai déposé  une proposition de loi pour une limite décente des écarts de revenus , avec un double objectif  : 
  • Instaurer un mécanisme fiscal incitatif  : au-delà d'un écart de  1 à 12,  les rémunérations concernées et les cotisations qui y sont associées ne sont plus déductibles du calcul de l'impôt sur les sociétés. 
  • Plafonner les très hautes rémunérations dans l'ensemble des entreprises, privées comme publiques,   à 20 fois le SMIC  en écho à la position des syndicats européens. 

En 2018, les dirigeants du CAC40 gagnaient en moyenne 277 fois le SMIC.
 
En rendant visible le caractère vital de métiers mal rémunérés, l'épisode pandémique a mis en évidence notre interdépendance, non seulement planétaire, mais aussi sociale. Il nous permet d'ouvrir à nouveau un débat largement méprisé ces dernières décennies : l'échelle des salaires est un choix profondément politique qui traduit l'échelle de valeur d'une société.

Engager un tel processus, avec cette proposition de loi que je porte avec le groupe socialiste, c'est mettre l'humain au centre de l'économie. C'est choisir la « common decency » (décence commune) de Georges Orwell, contre le « there is no society » (la société, ça n'existe pas) de Margaret Thatcher.
 
 
 
 
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