Dominique Potier
Député de la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle
Audrey Bardot, suppléante






 
Vous êtes ici :
  Contact Lettre d'information Facebook Twitter


Vidéo à la une


Agenda
Mardi 28 octobre

Détail de la journée

A Paris et en circonscription

08h00-
09h00
Audition du collectif d'entreprises engagées « En Vérité », autour de la Loi Duplomb
Assemblée nationale
09h00-
10h00
Réunion sur les enjeux et les pistes pour lever les freins au déploiement du biocontrôle
Visioconférence
10h30-
12h30
Réunion du groupe Socialistes et apparentés
Assemblée nationale
13h15-
14h15
Déjeuner avec Mathieu Lefèvre, Ministre délégué auprès de la ministre de la Transition écologique
Paris
14h00-
15h00
Assemblée générale d'Adavie
Représenté par Jeanne Groscolas, collaboratrice parlementaire

Nancy
16h00-
19h00
Débats en séance publique
-Projet de loi de finances

Assemblée nationale
19h00-
21h00
Réunion de la Commission des Affaires Economiques
-Suite de l'examen des crédits budgétaires « Logement et urbanisme »

Assemblée nationale
21h30-
23h30
Débats en séance publique
-Projet de loi de finances

Assemblée nationale
 
 
NEWSLETTER
Restez informés des actualités de Dominique Potier en vous inscrivant à la newsletter

 


> L'activité de votre député sur le site citoyen NosDéputés.fr


contactPermanence parlementaire
27 avenue du Maréchal Foch
54200 TOUL
Tel : 03 83 64 09 99
Fax : 03 83 64 31 05
Nous écrire

Actualités

Lundi 23 janvier 2016

Budget de la Justice en France

Budget de la Justice en France
Retrouvez ma question écrite au Garde des Sceaux.

M. Dominique POTIER attire l'attention de Monsieur le Garde des sceaux, Ministre de la Justice sur les ressources de la Justice en France.
 
Aujourd'hui, son budget s'élève à environ 65 euros par habitants. L'observation des situations en Europe établit à 100 euros le budget nécessaire à l'exercice de la justice dans des conditions décentes pour tous. 
 
Si des efforts remarquables ont été réalisés avec une croissance budgétaire de l'ordre de 10%, force est de constater qu'ils ne sont pas à la hauteur des déficits structurels accumulés depuis plusieurs décennies. 
 
Parallèlement à une réforme procédurale, la modernisation de notre Justice appelle un saut quantitatif couramment estimé à 2,5 milliards d'euros par an. C'est la condition de la dignité humaine des justiciables comme de ses fonctionnaires. C'est le prix à payer pour l'autorité publique  et le respect de l'État de droit. 
 
Dans le même temps, les réformes législatives que nous avons adoptées pour lutter contre la fraude ont permis -  à moyens quasiment constants - une augmentation des recettes fiscales de l'ordre de 2 milliards par an. Les efforts significatifs consentis par l'administration policière et judiciaire ont par ailleurs permis d'atteindre un record dans la saisie des avoirs criminels - 500 millions d'euros en 2016.
 
Il ne fait nul doute qu'une justice plus forte serait à même de mieux prévenir, et le cas échéant, de mieux punir la délinquance financière et d'en tirer de justes fruits pour les comptes publics. 
 
A partir de ces éléments, il lui demande à quelle échéance il est envisageable d'équilibrer l'effort budgétaire souhaitable par des recettes générées grâce à une meilleure efficience du système judiciaire.

 
 
 
 
Assemblée nationale
CMS : Flexit©